Les remises en question des idées fondamentales ont forcément des conséquences sur les innovations. Ainsi, en comprenant que la puissance des turbines éoliennes doit logiquement venir du vent qui frappe leurs pales, et pas du vent qui traverse la surface qu'elles balaient sans les toucher (ni des courants d'air transversaux qui sont freinants), on imagine automatiquement des nouveaux dispositifs conçus pour profiter de ce qui se passe réellement.
Comme je le précise dans mon étude sur l'énergie du vent, plus les vents sont rapides, moins leurs molécules ont le pouvoir de dévier de leur trajectoire. En conséquence, les masses d'air qui contribuent à donner au vent son énergie doivent être au moins dix fois plus importante (en fait plus longue) que ce que l'on pense. Elles doivent l'être dans une proportion égale au rapport entre la surface de balayage et celle des pales, ce qui expliquerait pourquoi la formule de calcul de l'énergie éolienne donne des résultats justes, alors qu'elle est fausse.
En augmentant le nombre des pales des grandes éoliennes à axe horizontal (HAWT), nous devrions réussir à leurs donner un rendement dépassant les cent pour cent par rapport aux calculs actuels. Si cet ajout de pales n'a pas encore été fait avec des éoliennes géantes qui tournent lentement (et qui perdent donc beaucoup d'énergie), c'est probablement parce qu'il n'est pas compatible avec la solidité des mâts. D'où l'importance d'utiliser d'autres supports, comme la plateforme flottante qui est représentée sur le dessin ci-dessus. Ce type d'installation nous permettrait d'installer des turbines de très grandes tailles partout, sur les océans où l'énergie éolienne est la plus abondante. Ces machines devraient donc être très solides et équipées de systèmes pour produire de l'hydrogène.
Comme je le précise dans mon étude sur l'énergie du vent, plus les vents sont rapides, moins leurs molécules ont le pouvoir de dévier de leur trajectoire. En conséquence, les masses d'air qui contribuent à donner au vent son énergie doivent être au moins dix fois plus importante (en fait plus longue) que ce que l'on pense. Elles doivent l'être dans une proportion égale au rapport entre la surface de balayage et celle des pales, ce qui expliquerait pourquoi la formule de calcul de l'énergie éolienne donne des résultats justes, alors qu'elle est fausse.
En augmentant le nombre des pales des grandes éoliennes à axe horizontal (HAWT), nous devrions réussir à leurs donner un rendement dépassant les cent pour cent par rapport aux calculs actuels. Si cet ajout de pales n'a pas encore été fait avec des éoliennes géantes qui tournent lentement (et qui perdent donc beaucoup d'énergie), c'est probablement parce qu'il n'est pas compatible avec la solidité des mâts. D'où l'importance d'utiliser d'autres supports, comme la plateforme flottante qui est représentée sur le dessin ci-dessus. Ce type d'installation nous permettrait d'installer des turbines de très grandes tailles partout, sur les océans où l'énergie éolienne est la plus abondante. Ces machines devraient donc être très solides et équipées de systèmes pour produire de l'hydrogène.
Ces centrales électriques offshores pourraient utiliser des moteurs thermiques, puisque la mer est une source froide idéale, puisque nous pouvons transférer les eaux chaudes produites par les condensateurs de ces moteurs à des grandes profondeurs, et éviter ainsi qu'elles aient une influence sur le réchauffement climatique.
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